L’OCDE met en garde le monde, malgré les récession n’est pas envisagé dans les 2 prochaines années, pas même pour leItalie.

Les défis économiques mondiaux restent toutefois énormes et alarmants, étant donné que la croissance se ralentit et qu’elle sera particulièrement touchée dans les années à venir. USA ed EuropaLes prix ne sont pas statiques et l’énergie peut encore être un problème du côté de l’offre ; les banques centrales du monde entier se précipitent vers des hausses de taux agressives, ce qui rend les pays à forte dette vulnérables ; la guerre en Ukraine n’a pas d’issue certaine.

Le site PIB mondial devrait augmenter de 3,1 % en 2022, de 2,2 % en 2023 et de 2,7 % en 2024, principalement grâce aux pays émergents d’Asie, qui représenteront les trois quarts de la croissance mondiale l’année prochaine.

Baisse pour les États-Unis et l’Europe, tandis que la Chine restera bien en deçà des attentes d’une croissance de 5 %.

L’Italiequi a ralenti les deux années suivantes, a néanmoins été sauvé par la récessionQue peut-on attendre de l’OCDE ?

Italie : ralentissement mais pas de récession pour l’OCDE

Notre pays consolidera sa reprise à 3,7% en 2022 selon les estimations actualisées de l’OCDE, publiées le 22 novembre.

Le site ralentissementmais pas dans la zone de récession, il y aura les deux en 2023, avec une PIB qui se redresse faiblement à +0,2%, et en 2024, où le produit intérieur brut est considéré comme étant de +1%.

Les perspectives pour le la nation italienne se présentent comme suit :

« Le haut prix de l’énergie freinera la production dans les industries à forte intensité énergétique, tandis que les revenus réels diminueront en raison de l’inflation élevée, de la hausse des taux d’intérêt et de la croissance modeste des marchés d’exportation qui modèrera la croissance de la demande. Le chômage augmentera et la participation au marché du travail diminuera, l’emploi se contractant en 2023. »

L’espoir de laItalie est que le resserrement de la politique monétaire sera partiellement compensé par une augmentation des investissements publics liés au PNR. La mise en œuvre en temps voulu de nouveaux investissements, la réforme du droit de la concurrence et le ciblage efficace des mesures de soutien à la crise énergétique seront essentiels pour soutenir l’activité à court terme et jeter les bases d’une croissance durable à moyen terme.

Le site dette publiquequi, selon les estimations, est encore trop élevé, se situera à 146,5 % du PIB en 2022 et tombera à 144,4 % en 2023 et 143,3 % en 2023.

Choc pour l’Europe et le monde en crise : graphiques de l’OCDE

Jetant un regard plus large sur le sort économique du monde et, en détail, de l’Europe, l’OCDE a d’abord mentionné que la croissance ralentit et que la zone euro connaîtra une faible reprise.

Ce graphique tiré du rapport le démontre :


Croissance des principaux pays du monde

Croissance des principaux pays du monde
Estimations de l’OCDE 2022, 2023, 2024

L’Arabie saoudite, l’Inde, la Turquie et l’Indonésie connaîtront les plus fortes hausses, tandis que les États-Unis eux-mêmes connaîtraient un ralentissement.

Cependant, le choc peut encore être très lourd pour leEurope si le crise énergétique.

L’OCDE a d’abord souligné que cette situation et l’hiver à venir pourraient laisser la région à court d’énergie. Le graphique est explicatif dans l’évaluation des risques avec 3 scénarios: aucune réduction de la consommation de gaz ; diminution de 10 % de la demande de gaz; hiver rigoureux et réduction de 10 % de la consommation de gaz. Dans deux cas au moins, il pourrait tomber en dessous du seuil de sécurité :


Scénarios de crise énergétique pour l'Europe

Scénarios de crise énergétique pour l’Europe
Risque de pénurie de gaz dans trois ans

Enfin, un troisième graphique montre clairement que l’Europe est plus touchée que d’autres régions du monde par l’impact de la crise économique. prix de l’énergie les prix élevés de l’énergie et les pénuries de gaz. En 2023, avec des coûts énergétiques toujours en hausse et des problèmes d’approvisionnement, ce sera le bloc européen de l’OCDE qui subira les plus grandes pertes économiques :


Impact d'une crise énergétique sur le PIB et l'inflation

Impact d’une crise énergétique sur le PIB et l’inflation
Comparaison des zones du monde

De manière générale, il faudra attendre 2024 pour voir un refroidissement de lainflation globalement. Selon les projections de l’OCDE, les prix commenceront à baisser, mais resteront supérieurs à 2% en Italie, à Fancia, aux États-Unis et même à 4% en Spaga, 3% en Allemagne et au Royaume-Uni.

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